Ce qu’il y a de bien avec la Grande Distribution, c’est que c’est un secteur où l’engagement est obligatoire.
Et quand les deux conjoints y sont, bonjour la vie d’à côté presqu’inexistante !
Entre Myriam qui travaille chez ED du lundi au dimanche et moi chez E.Leclerc du lundi au samedi, on a de la chance de se voir… tôt le matin en coup de vente, vite fait le midi et tard en fin de journée.
Entre les après-midi chacun de notre côté et les jours de congés qui se croisent, la vie de famille est assez réduite.
On ajoute à cela les horaires de Jérémy qui va à l’école (quand il n’y a pas grève) et il faut donc jongler avec un sacré emploi du temps.
Je ne pense pas que nous envisagions de travailler et vivre comme ça au départ… mais personnellement je n’envisage pas de travailler comme ça tout le temps.
Nous aimons assez notre travail pour ne pas vouloir en changer pour le moment, mais je trouve ça assez lourd.
Week-end type : Myriam ne travaille pas samedi après-midi (assez rare), je ne travaille pas le dimanche, Myriam revient du travail vers 13h30, on mange, siestes jusqu’à 17h, je travaille lundi matin.
Total d’heures passées ensembles : 3h (samedi soir) + 1h (dimanche midi) + 6h (dimanche soir) soit 10 heures fragmentées (hors nuits) contre 30h (15h / jour).
Conclusion : J’EMMERDE les gens qui veulent faire leurs courses le dimanche et je leur souhaite de bosser tous les week-ends, idem pour les politiques qui veulent faire ouvrir tous les commerces ce jour-là !
Je n’oublie pas mais c’est chiant :/
Vivement la Retraite 😀
Mais bordel, qu’est-ce que tu fous chez Leclerc ?
Je bosse 🙂 et c’est quand même assez sympa, surtout à l’approche des fêtes.
J’aurai pu tomber plus mal (la concurrence quoi :D)…
Tu as changé de secteur, c’est ce que je veux dire 🙂
Ha oui, en 2007 🙂
Pas de postes de fonctionnaire en bibliothèque dans la Manche, département très développé côté… rural 🙂
Le principal, c’est de ne pas avoir de regret 🙂
Bon dimanche.
[…] https://www.parigotmanchot.fr/2010/10/10/vie-de-couple-et-grande-distribution/ : même si je ne travaille plus dans ce secteur et que j’ai des « horaires de bureau », ma femme y continue ses péripéties et la vie de famille est donc toujours décalée… […]