2 films pour s’ennuyer et 1 pour se questionner

Entre deux Ă©pisodes de sĂ©ries tĂ©lĂ©visĂ©es, je regarde quand mĂȘme quelques films, seul ou accompagnĂ©, et j’ai parfois des surprises, bonnes ou mauvaises.

Je commence par deux tentatives infructueuses de regarder un bon film, avec tout d’abord De@th on Live qui raconte comment des adolescents deviennent youtubeur(se)s en mettant des lentilles de contact connectĂ©es.
Un jeune enquĂȘte sur la mort de son frĂšre, youtubeur de l’extrĂȘme.
Je ne vais pas vous raconter la fin, j’ai arrĂȘtĂ© avant.
A noter l’inexistence de fiches sur WikipĂ©dia ou AllocinĂ© (merci IMDb) !


On continue avec le trÚs médiatique Love de Gaspar Noé.
L’histoire et simple : Murphy est prĂ©venu par rĂ©pondeur interposĂ© que son ancienne petite amie Electra a disparu. Il se remĂ©more alors le bon temps, entre baise et romantisme, amour et soirĂ©es dĂ©gĂ©nĂ©rĂ©es (et plan Ă  3, alors que sa vie quotidienne lui semble sans intĂ©rĂȘt (il a mis en cloque la 3Ăšme du plan Ă  3 et a perdu donc Electra au passage). Puis il nous embarque dans ses souvenirs pour rechercher Electra.

J’ai regardĂ© environ 1h30, en me faisant violence.
Le rincipe du film Ă  sa sortie Ă©tait simple : un film d’auteur (comprendre chiant, mĂȘme si ce n’est pas toujours le cas avec ce genre de films, heureusement) dont les scĂšnes de sexe ne sont pas Ă©ludĂ©es, le tout en anglais sous-titrĂ© français, alors qu’il s’agit officiellement d’un film français, on saluera l’importance des dialogues.
Donc oui, d’habitude, 2 personnages s’embrassent et ça coupe (en gros).
Ici, pas de coupe, mais rien d’aussi voyeur que dans les films pornographiques (j’imagine :D), juste la rĂ©alitĂ©.
Du coup l’addition d’un film ennuyeux et des scĂšnes de sexe explicites donnent… un film ennuyeux.
Sans intĂ©rĂȘt pour moi, je ne sais pas si Electra rĂ©apparaĂźt Ă  la fin, mais je lui conseillerais de rester cachĂ©e…


Le dernier film vu rĂ©cemment est The Captive (en français c’est Captives mais il  n’y a qu’une seule prisonniĂšre, WTF !) qui raconte en parallĂšle la sĂ©questration de Cassandra par son geĂŽlier dans une piĂšce amĂ©nagĂ©e en appartement et l’enquĂȘte de police pour la retrouver 8 ans aprĂšs son enlĂšvement, grĂące Ă  une photo trouvĂ©e sur Internet.
Le pĂšre de Cassandra est aussi de la partie, sa mĂšre elle essaye de se raccrocher Ă  la vie, tout en travaillant dans un hĂŽtel dont les chambres dont elle s’occupe sont vidĂ©o-surveillĂ©es… par le geĂŽlier de Cassandra qui lui retransmet les images.
C’est donc un huis-clos bien glauque, avec du bon syndrome de Stockholm… ou pas, je n’ai pas vraiment compris ce point.
Le tout finit en happy end… ou pas.
Oui, le film laisse des question en suspens et ce n’est pas Ă©vident de s’y retrouver car le rĂ©alisateur intercale les moments de flashbacks d’une scĂšne Ă  l’autre sans prĂ©venir, merci la date en bas de l’Ă©cran.
Le rÎle le plus intéressant à mes yeux reste celui du kidnappeur.

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iceman
8 années il y a

Encore un sondage? Un poste Ă  l’IFOP bientĂŽt ?
A part Captives, je passe mon tour ….surtout pour Death on live avec l’Arobase pour faire connectĂ© :D….

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