J’ai dĂ©couvert rĂ©cemment, et terminĂ©, un jeu que je ne connaissais pas sur PlayStation 4.
Profitant d’un bon d’achat FNAC, j’ai passĂ© un bon moment Ă y jouer.
A premiĂšre vue, la conclusion du test de ce jeu sur Gamekult ne donne pas envie :
The Last Tinker : City of Colors se destine avant tout Ă un public jeune et n’intĂ©ressera donc pas forcĂ©ment les joueurs acharnĂ©s en quĂȘte de dĂ©fi de par sa trop grande simplicitĂ©, son propos trĂšs naĂŻf et/ou son univers outrageusement bariolĂ©.
Sauf qu’avec un rejeton de 8 ans Ă la maison, je suis plutĂŽt content d’avoir mis la main sur un jeu en PEGI 7+, ce qui est assez rare sur PS4, LBA 3 l’ayant déçu.
Bon, de toute façon, il prĂ©fĂšre les jeux de son smartphone et sur Facebook mais j’ai quand mĂȘme dĂ©cidĂ© de l’acheter.
The Last Tinker est un jeu de plateforme : vous contrÎlez un singe anthropomorphe qui se déplace dans un monde coloré.
Ou plutĂŽt, c’est le point de dĂ©part de l’histoire, qui doit redonner de la couleur au monde dans lequel il Ă©volue.
Vous voilà donc propulsé dans des niveaux assez variés histoire de combattre la grisaille et les monstres qui en sortent.
On enchaĂźne donc les mondes avec le mĂȘme fil conducteur : chercher l’esprit colorĂ©, combattre les monstres, profiter du nouveau pouvoir de la couleur de l’esprit libĂ©rĂ© pour continuer.
Soyons clairs, le jeu est sans trop de surprises et je l’ai fini assez rapidement mais je l’ai trouvĂ© rafraĂźchissant.
Les « énigmes » sont plus ou moins variées, le bourrinage ne marche pas toujours contre les ennemis et les NPC sont assez drÎles si vous suivez les dialogues et les réflexions des habitants.
Je recommande l’achat si vous le trouvez Ă 15 ⏠ou moins đ !