J’ai arrêté Assassin’s Creed III, au vu de l’inutilité et du temps pris sur mon sommeil 8) et j’ai fini en mode Cyrille Borne Assassin’s Creed IV, comprendre rapidement faire les missions principales, sans prêter attention au scénario trop emberlificoté et aux missions annexes trop nombreuses et répétitives.
Maintenant je flingue du nazi et ça détend 😀 !
On ne peut pas enlever à Ubisoft que côté animation et graphisme, la série sans fin Assassin’s Creed peut donner des leçons à beaucoup de studios, pour le reste on repassera.
Il y a peu, profitant d’une promotion, j’ai commencé le dernier Wolfenstein, rappelez-vous les plus anciens du héros en pseudo-3D, on arrive ici sur ses traces versions modernes.
Du coup, nous voilà de nouveau dans les pas de l’agent Blazkowicz qui s’infiltre dans le château Wolfenstein, celui dont vous vous échappiez il y a 20 ans, l’histoire est un éternel recommencement comme le montre le résultat des dernières élections, je parle de Seconde guerre mondiale bien sûr.
Bref, vous devez vous infiltrez mais pas de bol direction la prison presqu’au début, le temps de baver un peu sur les décors extérieurs.
Le scénario n’a en fait pas vraiment d’importance, on se retrouve assez vite avec des flingues presque trop gros pour l’écran mais qui envoient du lourd, car deux mitraillettes ou deux fusils à grosses cartouches, ça tue du nazi en 4 coups.
Le temps de recharge est LONGGGGGGGGGGGGG mais on trouve assez de munitions pour parcourir les niveaux en mode bourrin, du moins dans la première moitié du jeu.
L’intelligence artificielle est là, les ennemis essayent de se cacher.
Pour finir bien massacrés !
Le jeu possède aussi des zones à infiltrer : vous arrivez dans une zone avec 2 officiers et des soldats, au moindre bruit les officiers crient et des vagues d’ennemis vous courent après.
Il faut donc zigzaguer et assassiner au pistolet avec silencieux pour trouver lesdits officiers et les tuer rapidement.
Au final, j’ai pour l’instant bourriné à chaque fois, ça marche si on est rapide et que l’on va tuer vite fait en premiers ces cibles à casquette.
Petit clin d’œil aux nostalgiques : les niveaux disposent d’un matelas pour s’endormir et cauchemarder en rejouant au premier épisode Wolfenstein 3D sorti en 1992, c’est-à-dire en déambulant dans un monde de gros sprites et d’ennemis en bitmap 2D.
Rigolo sans plus.
Bref, voici de quoi se défouler, je l’ai payé 5,60 € en dématérialisé, vive la fibre (le jeu pèse 40 Go) et vive les jeux de bourrins mélangeant nazis, paranormal, gros flingues et zombis.